Des donateurs racontent

Pour être mieux convaincus de la bonne réputation de l’œuvre humanitaire des « Sœurs de Marie » et de leur motivation, lisez plutôt ce que d’autres disent sur elles :

«Nous voulons nous manifester après notre retour de notre séjour au Brésil. Nous avons passé deux jours à Santa Maria et nous avons visité la Girlstown. Ce fut une expérience unique. A notre arrivée nous avons été accueillis par de grands signes de bienvenue des élèves. … Nous sommes impressionnés par l’institution entière, ce qui est réalisé ici est fantastique. Compliments ! Tout est ordonné et propre. Les sœurs et les élèves respirent la joie. A 17 heures nous étions invités dans la grande salle. A l’entrée nous avons reçu une couronne de fleurs et les 900 filles nous ont accueillis. Il y eut ensuite un spectacle de danse et de musique qui reste un souvenir inoubliable, impossible à décrire. Nous étions entourés par les élèves qui nous posaient des questions. Nous étions plongés dans une atmosphère de joie, de bonheur et d’amour. Les mots nous manquaient pour exprimer notre grande reconnaissance. Ce village du monde pour enfants est une œuvre tellement exceptionnelle qu’on a beaucoup de mal à la décrire. Tous ceux qui auraient l’occasion de visiter une telle école, seraient certainement enthousiasmés et feraient tout pour la soutenir. Nous partageons avec tous nos amis et nos connaissances ce que nous avons vu et vécu.»
Famille Lüscher


«J’aime beaucoup recevoir les informations concernant « vos enfants », qui rient si gaiement sur les photos. Je vous envoie volontiers mon obole car vous éduquez les enfants de telle sorte qu’ils deviennent des adultes responsables dans ce monde.»
Noelle Mülethaler
 
«C’est volontiers que j’affirme très bien connaître la congrégation des Sœurs de Marie. Elles sont au service des plus pauvres d’entre les pauvres, au nom du Seigneur. Ici au Guatemala, elles ont installé des foyers pour filles et pour garçons, pour orphelins et enfants de familles très pauvres. Les religieuses ont fondé une clinique, elles s’occupent de mères célibataires et d’enfants en bas âge. Je suis impressionné par leur grand dévouement. Je sais qu’elles dépendent des dons et j’encourage tous ceux qui peuvent les aider, à le faire.»  
Msgr. Bruno Musaro, nonce apostolique au Guatemala.


«A la suite de mon invitation, Msgr. Schwarz et les sœurs sont arrivés aux Philippines en 1985. Dans mon archevêché, « les Sœurs de Marie » ont construit des foyers pour garçons et filles à Santa Mesa. Des internats semblables furent construits aussi à Talisay et à Minglanilla, à Cebu et à Silang, Cavite. Les « Sœurs de Marie » offrent à leurs enfants, absolument gratuitement, la nourriture, les vêtements, le logis et une formation professionnelle hautement qualifiée. Elles les font bénéficier aussi de soins médicaux et dentaires ainsi que d’activités sportives. A la fin de la formation professionnelle, les sœurs aident les élèves à trouver un premier emploi. De nombreux anciens élèves exercent déjà une profession et aident leur famille dans le besoin.
Le travail des « Sœurs de Marie » pour les pauvres est un véritable ministère de Dieu et une contribution considérable pour l’Eglise et la société. Je recommande fortement de soutenir la noble mission des sœurs et j’encourage davantage de gens à le faire.»   
Jaime L. Cardinal Sin +, archevêque de Manille, 2003
 
«A la fin de l’année dernière nous avons visité une partie des installations des sœurs près de Manille. En premier lieu nous sommes allés à la clinique de jour ambulatoire. Une aimable sœur nous y a accueillis et nous a montré les salles de soins des malades. En entrant en voiture dans la Girlstown de Biga, c’était un dimanche donc jour de congé, nous avons été frappés par l’humeur joyeuse de toutes ces filles. Elles formaient des petits groupes et elles se promenaient partout sur le grand terrain. Il y avait même une sœur qui jouait au basket avec les filles sur un des nombreux terrains de sport. Bien que nous n’ayons pas annoncé notre venue auparavant, nous avons été reçus très chaleureusement et avec une joie manifeste. Ce dimanche-là la General Superior Sœur Maria Cho se trouvait justement présente. Après une conversation cordiale et une photo prise avec elle, Sœur Tess nous a fait faire le tour de l’installation. Nous avons vu la buanderie où sont apportés les draps que les filles ont enlevés des lits pour les laver. Nous avons vu la grande cuisine où on était en train de préparer le déjeuner, la bibliothèque avec le coin lecture, la salle des ordinateurs parfaitement équipée, ainsi que les halles de sport qui servent aussi de salles des fêtes. Il régnait partout une grande activité. Dans le bâtiment d’école et d’habitation, nous avons rencontré des filles de bonne humeur qui jouaient gaiement, qui chantaient et dansaient. Elles étaient presque toujours en groupes car elles sont divisées en petits groupes dans les dortoirs et les pièces à vivre. Leur gentillesse cordiale et ouverte nous a impressionnés car nous n’u sommes pas habitués. En un clin d’œil elles ont pris la pose pour une photo de
groupe et elles se sont mises également à chanter. Les yeux des filles brillaient comme des étoiles et rayonnaient de bonheur, ce que nous n’avons encore jamais vu ici chez nous, chez des adolescents du même âge en si grand nombre. En outre, nous avons été frappés par la propreté et l’ordre qui régnaient dans le complexe entier, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. On pouvait observer un ordre presque militaire dans l’aménagement (disposition des lits et rangement des objets usuels), dans l’habillement et dans le comportement de groupe. Il s’agit certainement d’un élément de base pour le succès du concept des Sisters of Mary. L’exemple donné par les sœurs dans leur enseignement et leur éducation, et surtout la transmission des valeurs chrétiennes de façon vivante et crédible, tout cela conduira les jeunes sur une bonne voie pour leur vie future. Notre visite de cette œuvre humanitaire, destinée à des jeunes gens issus des bidonvilles de grandes villes comme Manille, nous a fortement impressionnés. Nous allons en parler à nos amis et parents et les prier de faire parvenir leurs dons à l’association des Sœurs de Marie. »
Famille Barth